Avis Sisteron 04200

Trop de chiens dangereux, trop de voyous, et malheureusement un manque d'entretien espace verts. Des poubelles qui débordent, et des destructions des tables et bancs.

Rues sales insécurité grandissante, Sisteron n'est plus ce qu'elle était. on aimerait plus de secuité, moins de vols et plus de moyens de se soigner; (désert médical) ?

Ville ou i fait bon vivre, bonne mentalité dans l ensemble, commerces ,écoles, loisirs tous y est, on arrivent d une grande ville avec ma famille on y est vraiment bien ,cadre de vie super,une Mairie qui sait vous accueillir, il manque au niveau de la santé, docteurs et spécialistes il faut un peut rouler ,et surtout une ville très très propre et entretenu.On à vue dessuite la différence on sait de quoi on parlent venant d une grande ville .Merci Sisteron

SIsteron est une ville agréable à vivre.
Propre et bien fleurie, elle bénéficie d’un environnement idéal avec son plan d’eau et ses nombreuses balades aux portes de la ville. Ses commerces semblent s’étoffer après quelques années d’abandon grâce à un nouveau dynamisme des commerçants. Cependant, au niveau médical, c’est le contraire (Medecins, ophtalmos,etc) et il faut faire des kms pour consulter !!!

Très belle ville agréable au quotidien, vivante et touristique, bien desservie en trains, bus, autoroute... De plus en plus de commerces et d'entreprises s'y installent avec de l'industrie, ce qui offre de nombreux emplois.

Sisteron la perle de la Provence, elle est bien bonne celle-là. Beaucoup de racaille campagnarde, aucun respect et aucun savoir vivre. Pourquoi pas en touriste pour visiter, mais pas pour y vivre selon moi. Les bons finissent par partir et les mauvais restent, donc forcément c'est de pire en pire !

Je ne conseil pas cette ville ville exécrable ville morte danger de partout , ivrogne vol , la vit est triste froidure des commerçants, a vous de voir

Un gros village de passage concentré sur sa vieille ville, au caractère médiéval remarquable, animé en saison par de nombreux artistes mais désertique l'hiver. C'est le double visage de Sisteron, qui rend objectivement difficile d'y vivre à l'année quand on n'y est pas né. L'offre culturelle estivale est prestigieuse, ses Nuits de la citadelle, dédiées au lyrique, y amènent un public haut-de-gamme. Mais cela ne fait pas tout. Sisteron jouit certes du bassin d'emplois manosquin et des proches usines Sanofi et Arkema qui parviennent à y maintenir des emplois pérennes. Mais la vie en ville souffre des travers observables ailleurs dans ce département des Alpes de Haute-Provence : loyers surévalués à hors de prix pour des logements de mauvaise qualité dans l'ancien, sans contrepartie de qualité de vie en termes de loisirs et de commodités ; logements sociaux rendus invivables par la faune à laquelle ils sont attribués ; désert médical malgré la subsistance d'un petit hôpital préservé de haute lutte ; peu de ressources pour les jeunes, condamnés à de fréquents allers-retours vers Aix et Marseille par le train, dont la ligne n'est toujours pas électrifiée, et le car - jusqu'à ce qu'ils partent s'installer ailleurs où existe ce qu'ils ne trouvent pas dans le département pour y vivre leur vie ; une surabondance de marginaux qui à longueur d'année font la navette entre Digne, Manosque, Sisteron, Laragne et Gap ; un manque sévère de lieux de sociabilités hors un milieu associatif par ailleurs très actif, et il faut s'en flatter. En somme, la vie à Sisteron se décline dans cette quête de cohérence entre saisons, entre lieu de passage et lieu de vie, entre richesses patrimoniale et historique et pauvreté des perspectives d'avenir.